por Aninhas Penitencia a quinta-feira, 7 de Abril de 2011 às 23:34
...C'est à dire beaucoup de choses pratico-theoriques
dans un monde que l'exige,oubliant le parcours naturel de la vie,
où le temps est grand et magnifique.
Être mère c'est la refléxion devant d'un mirroire toujours...
et oublier l'horloge,ce -là qui limite le cicle :
allaiter, créer,
rien faire et faire l'amour.
Je réclame le droit d' être avec les enfants
et « ne pas donner la liberté »,
cet-à-dire, elle se donne pas
mais quelle soit déjà la realité.
Le monde me demande :« c'est ta fille ? »
et je répond :
« À travers de moi elle est venu, mais c'est pas
ma proprieté,non plus. »
Dès mon ventre elle a voyagée pour ce monde habiter
quelle partie de Mère-Terre vient elle être ici ?
C'est toute une adventure ,toute à fait étonnant
tant mieux quand les attants, d'origine pluriel
se mettent pas devant.
Le principe, il est clair
chaque être est né(é) bon(ne), comme les bourgeons des fleurs.
L'instinct de l'amour occupe tout les milions des coeurs.
Qu'est-ce que nous reste alors s'il n'y a pas qu'a nos enfants faire confidance ?
Se joindre, ouvrir portes et fenêtres, les oreilles et les idées faites .
le sistème injuste et ennoyant c'est fini
On va jouer, planter, danser et ce que plus nous arrive
faire des troques, inventer notre sustenabilité
On suive le ritme de la volonté.
Et que le sauvage s'endorm pas !
Qu'il soit bien reveillé !
….pour que l'espoir d'une vivance vraiment integral
peut bien pousser sans jugements inutiles,
comme la Tère, elle-même sans frontières,infinitement fertile.
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